Dans son mot d’introduction à la récente infolettre d’UNANIMA International, la directrice générale Jean Quinn, fdls, fait état des nombreux défis actuels devant des situations difficiles (climatiques, migrations massives, changements numériques, guerres…) qui se multiplient alors que les personnes appauvries en subissent davantage les conséquences. Elle insiste toutefois sur les signes encourageants en affirmant notamment « nous sommes des personnes d’espoir. »
Cette publication fait état bien entendu des mises à jour des actions posées par cette organisation non gouvernementale (ONG) au sein de divers comités et commissions de l’Organisation des Nations unies (ONU). C’est ainsi qu’on découvre l’implication particulière de l’ONG à la 61e Commission du développement social (CSocD61) où Jean Quinn a prononcé un discours lors du panel d’ouverture. Elle a aussi présenté la Déclaration de la société civile préparée par le Comité des ONG pour le développement social. Ce dernier regroupe plus de 1000 signatures d’individus et de groupes de la société civile.
Le texte de la Déclaration est disponible ici.
L’infolettre souligne l’existence d’une nouvelle publication du réseau de la congrégation des Sœurs de la Présentation, active dans une vingtaine de pays. Ce réseau connu sous le nom de l’International Presentation Association (IPA) travaille un plaidoyer à l’ONU sous le thème « l’élimination de la violence à l’encontre des femmes et des enfants ». Une deuxième publication a été diffusée récemment en anglais seulement, dont le titre est « Policies for Gender Justice; Practices in addressing domestic violence and gender stereotypes » (Politiques pour la justice de genre, pratiques pour faire face à la violence domestique et aux stéréotypes sexospécifiques). Le document met l’accent sur les synergies et le travail en collaboration des gouvernements et des organisations pour trouver des solutions aux problématiques.
Dans la section Témoignages, on retrouve cette fois-ci un court texte soulignant l’engagement d’une religieuse des Sœurs de l’Assomption de la Sainte Vierge auprès des immigrants à Sudbury en Ontario. On y fait mention d’un geste de reconnaissance à son égard pour tout le travail effectué auprès de la communauté nigériane en particulier.