Célébrée dans de nombreux pays partout dans le monde, la Journée de la Terre nourricière est l’occasion de s’attarder sur l’interdépendance réelle entre les êtres humains, les diverses espèces vivantes et la terre. L’Organisation des Nations Unies (ONU) met l’accent sur le passage obligé au développement durable pour le bien de tous.
Elle invite d’ailleurs toutes les personnes et les organisations à joindre le mouvement mondial pour sauver la planète en s’inspirant notamment des démarches dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes (2022-2031). Pour appuyer la réflexion, découvrez le texte d’un dialogue inspirant entre le philosophe Voltaire (18e siècle) et la nature.
En parallèle, il est bon de rappeler l’appel du pape François dans son encyclique Laudato Si’ : « Tous, nous pouvons collaborer comme instruments de Dieu pour la sauvegarde de la création, chacun, selon sa culture, son expérience, ses initiatives et ses capacités » (LS 14).
Rappelons que le Jour de la Terre a vu le jour le 22 avril 1970. Au fil des années, cette journée a suscité un engouement pour devenir le plus grand mouvement environnemental participatif de la planète. Cela a donné lieu à des collaborations entre pays, comme le Canada et la France et ailleurs dans le monde.
Sur le site officiel de cette collaboration, on retrouve une multitude de renseignements et les détails sur la campagne de sensibilisation 2024. Cette année, on met l’accent sur l’action en encourageant des moyens en mobilité durable. En sachant que 43 % des émissions de GES sont attribuables au secteur des transports, il est plus que temps de délaisser l’utilisation du véhicule, en augmentation constante, pour choisir la marche, le vélo, le transport collectif et le covoiturage.